Dieu et le cerveau.

Protocole : un groupe de croyants et un groupe d’athées. Scanner pendant test au moment d’anticipation de réponse, puis prise de conscience de la bonne réponse.
Résultat : chez les athées le cortex cingulaire s’active fortement en cas d’erreur. Plus exactement, la réaction n’est pas la même face à un événement non conforme à leurs attentes. Les croyants ont une réaction plus modérée du cortex cingulaire.
Conclusion : la croyance permet une reconsidération des événements non prévus. Les voies du seigneur sont impénétrables. Dieu l’a voulu ainsi.
Conséquence : une modération du cortex cingulaire antérieur implique une baisse de la tension psychique. Les incertitudes sont perçues de façon moins anxiogène.
Conclusion : la religion est un bon anxiolytique.

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