Animaux adolescents et violents.

Observation : il a été observé sur des groupes de chevaux que dans les hordes ou les adultes ne sont pas assez nombreux, les jeunes forment des bandes agressives et incontrôlables.
Conclusion : des mécanismes similaires ont été observés chez les humains. Il a été observé que plus les adultes sont nombreux, moins les adolescents passent de temps avec de mauvaises fréquentations, et plus ils apprennent à canaliser leurs impulsions.
Conclusion : le contact avec les adultes est primordial.

Violence préméditée chez les animaux.

L’histoire se passe dans un zoo en Suède. Un chimpanzé de 31 ans jetait des pierres sur les grilles du public. Il s’avère que le chimpanzé, à l’aube, aller chercher des pierres dans le petit cours d’eau, les préparait méticuleusement et les cachait, se dotant ainsi d’une réserve de munitions.
Ce qui est incroyable, c’est qu’un animal puisse anticiper un état émotionnel plusieurs heures à l’avance, alors que qu’il est dans un état radicalement différent.
Conclusion : la violence préméditée n’est pas l’apanage de l’homme. La capacité d’identifier ses émotions et de les anticiper non plus.

Vertu sadomasochiste.

Protocole : analyse des taux de cortisol et testostérone avant, pendant, et après une séance de sadomasochisme dans un couple.
Observation : augmentation de deux hormones pendant la séance, et retour rapide à la normale.
Conclusion : l’acte est perçu comme une agression excitante. Une émotion aussi forte que la détente qui la suit.
Hypothèse : le sadomasochisme comme facteur de consolidation du couple ?

Les mots et la violence.

Protocole : les sujets ayant entendu des mots relatifs à la température telle que chaleur, ébullition, brûlant etc. ; sont invités à compléter les lettres suivantes :ki .

Conclusion : les sujets du test ont écrit plus souvent et en majorité le mot kill , alors que les sujets normaux ont écrit plus souvent le mot Kiss.

Le vocabulaire associé à la chaleur amorcerait des pensées agressives. Des études avaient déjà montré le lien entre le nombre d’agressions et la température.

Impact des jeux vidéo.

Protocole : les sujets jouent à un jeu vidéo violent pendant 20 minutes. Une rixe éclate dans la pièce voisine.

Résultat : les personnes ayant joué mettent cinq fois plus de temps avant de se décider à intervenir.

Une personne normale intervient au bout de 16 secondes, contre une minute et 13 secondes pour un joueur.

Conclusion : le lien entre jeu vidéo et réalité est fondé.